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LA CLASSE MATERNELLE • N° 277 • 03/2019 •

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projets en me fondant sur cette idée :

Clément AplatiTour (version

Twitter

)

et Clément Aplati ambassadeur (sous

une forme plus classique).

Nous avons amorcé début octobre la

deuxième saison de l’AplatiTour. Sous

cette forme, il est exclusivement ouvert

aux classes francophones possédant

un compte

Twitter

. Je cherchais de

cette façon à créer du lien entre les

twittclasses qui exploitent le réseau

social et, pourquoi pas, en amener

d’autres à l’exploiter. L’AplatiTour est

ouvert à toutes les classes du primaire

et du secondaire : aucune étude du

roman n’est prévue, car il se destine

plutôt aux jeunes lecteurs.

XX

LE DÉPART DE CLÉMENT

APLATI

L’AplatiTour est très semblable sur le

fond au projet anglophone, la prin-

cipale différence étant dans le média

exploité. Dans un premier temps, les

classes intéressées s’inscrivent pen-

dant les vacances d’été ou au début de

l’année scolaire sur

aplatitour.blogspot.

com

ou via

Twitter

. L’équipe, car deux

autres professeurs des écoles m’aident

à mettre en œuvre ce projet, demande

à chaque enseignant de remplir un for-

mulaire d’inscription. Que l’on soit en

maternelle, en Cycle 2 ou 3, au collège,

au lycée, dans un lycée pro ou dans

Le blog consacré à l’AplatiTour fédère les deux projets

organisés par Isabelle Watrinet et ses deux confrères.

Une twittclasse est le nom donné aux classes de maternelle

ou d’élémentaire ayant un compte sur le réseau social

Twitter

. Dans ces classes, le réseau social est utilisé de

manière raisonnée et à des fins pédagogiques : pour

faire écrire les élèves, pour diffuser de l’information, pour

participer à des projets en ligne ou encore correspondre

avec d’autres classes. Sous la responsabilité de l’ensei-

gnant, les élèves communiquent avec leurs abonnés ou

des membres de la communauté

Twitter

.

Pour ouvrir une twittclasse, on sollicite toujours en premier

lieu l’autorisation de son inspecteur, qui est le directeur

de cette « publication scolaire ».

Une twittclasse, kézako ?