Lors d’une séance de la Commission "éducation, action sociale" de l’Amif (Association des maires d'Île-de-France) en janvier 2016, les élus franciliens, en présence de la sénatrice PS de Gironde Françoise Cartron, vice-présidente du Sénat et rapporteure du projet de loi pour la refondation de l’école pour la République, ont analysé les impacts de la réforme des rythmes scolaires.
Dans un communiqué diffusé le 17 février 2016, les élus réclament trois mesures pour la rentrée 2016-2017 : "obtenir un délai supplémentaire d’un an pour la mise en place du projet éducatif territorial (PEDT), ne pas inclure l’école maternelle dans la réforme et disposer de plus de souplesse dans le choix de la demi-journée de cours supplémentaire" (mercredi ou samedi). Ils soulignent que "l’application de la réforme a révélé des contraintes souvent lourdes à surmonter pour les communes".
Source : AEF